Qu’est ce que j’ai pû râler, rire, pleurer, sourire, pleurer encore, me gronder d’avoir pleurée, Râlée, souffert, alors que je vivais un rêve, le mien! Que je vivais! Vivre étant en soit une chance incroyable pour laquelle on devrait remercier le ciel tous les jours!
Alors je passais du rire au larmes, je me poussais et poussais mes limites, sans plus vouloir les voir les entendre, les reconnaître! Sans plus avoir l’impression de les pousser! Difficile de dire ça suffit”! Pire de voir que c’est suffisant! pourquoi! La vie n’attends pas ! Il y a tant à voir et à faire!
Mais il ne faut pas s’oter le plaisir de s’enrouler dans une couverture, de se lever tard, de jouer, de Perdre son temps!
Je voulais vivre, dévorer la vie, je tombais, je me relevais, j’avançais, je reculais, mais j’avançais,
surtout !
Je savais que ça viendrait, enfin ce moment où je pourrais accepter de pleurer, de lezarder dans mon lit et accepter toutes ces belles choses qui me sont arrivées…
Une chance, mille chances teintées d’un trou béant inéluctable et nécessaire.
Avoir cette impression de flotter, d’être spectateur de sa vie, tout en réalisant en être acteur! Passer en mode automatique alors qu’on vit des choses extraordinaires.
Aujourd’hui les larmes me montent aux yeux, mais j’aime sourire à pleines dents.
Aujourd’hui j’ai appris à voir mes limites et même parfois à les accepter et faire avec pour mieux avancer!
Je râle, c’est inéluctable cela fait parti de mon patrimoine culturel!
Mais j avance, teinté d’un goût d’Asterix et Obélix à la conquête de l autorisation XY dans la tourmente administrative !
J’avance de 2 pas et si je recule d’un, et bien cela veut dire que j’avance tout simplement!
Qui a dit que la vie était un long fleuve tranquille!
Thank G! It’s not!
Ma chère Grand-maman
Tu n imagines pas combien tu me manques.
Tu es avec moi, toujours, mais ne plus pouvoir t’appeler, te parler, te voir, me fait monter les larmes aux yeux.
Je sais que c est normal, qu il fallait que tu partes, que je ne pouvais t’avoir avec moi à chaque pas que je fais.
En un sens tu es toujours avec moi.
Je suis ta petite fille et tu m as élevée avec tout ton cœur, sans retenue.
Tu as été sévère, stricte, permissive, car je savais au fond de moi que je pouvais déroger à tes règles tant que je suivais les lignes de mon cœur que je respectais le fondement de nos valeurs.
Quelle chance j’ai eu de t avoir.
Même si je savais que tu n’approuvais pas toutes mes décisions et comportements, j ai toujours su que tu m’aimais plus que tout et que j étais parfaite à tes yeux! Un amour inconditionel. Quel cadeau inestimable.
Comme tu me manques, ta façon de m ennuyer, ta façon de m’excuser pour tout ce que je faisais à l inverse de ce que tu souhaitais ! Mais peut-être pas tant que ça! Tu m’as toujours soutenue, valorisé, encouragé.
Tu m’as transmis ton sourire et ta persévérance, ta joie de vivre, de transmettre!
Fortes têtes! Le clash des générations!
Pain au lait au chocolat ! Devoirs! Pièces “coutures”! Rouge à joues et rouge à lévres! passion! Devoir! Accueil !
Fi de nos désaccords tu m as toujours aimé sans conditions et retenues… Nos cœurs ne font qu’un, ils battent à l’unisson.
Je t aime tant
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Jess, what you have written is beautiful. xxx julie
😘
Tout simplement magnifique rien à ajouter!fiere de ma copine!!!!love
Merci Marion 😘